ahhhhhh c'est bien le printemps!!!
Ce soir, après avoir passé la journée à corriger des copies, je décide de m'aérer et d'aller au bord de l'eau... direction ma 1e catégorie pour 3 heures de pêche.
J'arrive sur place à 17h. Je voyage léger, une canne, quelques leurres seulement et mon appareil photo.
L'eau de la rivière est claire, et belle. Les poissons sont de sortie. Je vois de nombreux chevesnes, gardons et vairons... mais pas de truites. Je parcours tout l'amont de mon parcours qui est habituellement bien peuplé en truites farios, mais rien, pas une attaque...
Je descends la rivière, pour pécher un bosquet traversé par le ruisseau, quand soudain je tombe nez à nez avec une jolie morille, sans la chercher... c'est déjà ça, le champignon fait la taille de l'intérieur de ma main...
Sans me laisser déconcentrer par ma trouvaille je continue ma quête de dame fario, désormais la rivière est obstruée par de nombreux peupliers tombés lors de la dernière tempête , ça fait de nombreux postes... J'arrive justement prêt de l'un de ces troncs baignant dans l'eau limpide. Mon petit tiny fry brille dans le courant, virevolte, glisse d'une veine de courant l'autre, quand soudain un éclair me ramène à la réalité, une truite vient de taper à côté du leurre, aussitôt je profite du fait que le leurre soit densité neutre, je le laisse redescendre dans le courant, le jerk vigoureusement sur place, une gueule béante le saisit alors, le combat est virile, mais rapide, je sors cette jolie fario, je suis heureux.
Je repars à l'aventure, et dans les mètres qui suivent j'en rate deux autres, mais cette fois-ci ce sont elles qui gagnent, elles disparaissent dans les eaux agitées du ruisseau sans revenir voir mon leurre... J'arrive sur l'aval de mon parcours, là la rivière se divise en deux, je fais descendre mon leurre dans la partie la moins large ( environ 4 m de large), je pique une jolie truitelle, puis je continue , une sensation d'accroc se fait sentir, je ferre par réflexe, j'ai l'impression d'avoir piqué une locomotive, 5 m de fil sortent de mon moulinet avant que le poisson ne se décroche... grosse truite, gros chevesne? je ne saurais pas.
Avec un seul poisson , je rentre tout de même heureux de ces 3 petites heures de pêche .
J'arrive sur place à 17h. Je voyage léger, une canne, quelques leurres seulement et mon appareil photo.
L'eau de la rivière est claire, et belle. Les poissons sont de sortie. Je vois de nombreux chevesnes, gardons et vairons... mais pas de truites. Je parcours tout l'amont de mon parcours qui est habituellement bien peuplé en truites farios, mais rien, pas une attaque...
Je descends la rivière, pour pécher un bosquet traversé par le ruisseau, quand soudain je tombe nez à nez avec une jolie morille, sans la chercher... c'est déjà ça, le champignon fait la taille de l'intérieur de ma main...
Sans me laisser déconcentrer par ma trouvaille je continue ma quête de dame fario, désormais la rivière est obstruée par de nombreux peupliers tombés lors de la dernière tempête , ça fait de nombreux postes... J'arrive justement prêt de l'un de ces troncs baignant dans l'eau limpide. Mon petit tiny fry brille dans le courant, virevolte, glisse d'une veine de courant l'autre, quand soudain un éclair me ramène à la réalité, une truite vient de taper à côté du leurre, aussitôt je profite du fait que le leurre soit densité neutre, je le laisse redescendre dans le courant, le jerk vigoureusement sur place, une gueule béante le saisit alors, le combat est virile, mais rapide, je sors cette jolie fario, je suis heureux.
Je repars à l'aventure, et dans les mètres qui suivent j'en rate deux autres, mais cette fois-ci ce sont elles qui gagnent, elles disparaissent dans les eaux agitées du ruisseau sans revenir voir mon leurre... J'arrive sur l'aval de mon parcours, là la rivière se divise en deux, je fais descendre mon leurre dans la partie la moins large ( environ 4 m de large), je pique une jolie truitelle, puis je continue , une sensation d'accroc se fait sentir, je ferre par réflexe, j'ai l'impression d'avoir piqué une locomotive, 5 m de fil sortent de mon moulinet avant que le poisson ne se décroche... grosse truite, gros chevesne? je ne saurais pas.
Avec un seul poisson , je rentre tout de même heureux de ces 3 petites heures de pêche .
David